samedi 4 octobre 2014

Les paternalistes parlent aux martyrs

Ma réponse à Ficus étant restée en place assez longtemps pour que tous ceux qui étaient intéressés la lisent, comme prévue, je la retire du blog. Non pas que j’en renie la moindre partie : étant donnée la violence de l’attaque contre mon précédent article, je n’estime pas déplacé d’avoir fait preuve moi aussi d’une certain agressivité. Mais ce genre de chose n’a pas vocation à rester en ligne ad vitam ; et malgré une réponse à ma réponse, j’ai franchement mieux à faire que de poursuivre une polémique complètement stérile.

Ceux que le débat pourrait intéresser peuvent me demander mon texte, je le leur enverrai en privé.

1 commentaire:

  1. Laisse tomber Meneldil, il y a mieux que de "mordre" les mollets d'une brebis affolée, fais de la poésie. Cadeau :

    Prenez un mot prenez en deux
    faites les cuir’ comme des oeufs
    prenez un petit bout de sens
    puis un grand morceau d’innocence
    faites chauffer à petit feu
    au petit feu de la technique
    versez la sauce énigmatique
    saupoudrez de quelques étoiles
    poivrez et mettez les voiles
    Où voulez vous donc en venir ?
    A écrire Vraiment ? A écrire ?
    Raymond Queneau

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